La montagne aux ordures vibre de tout son poids sous l'effet des
pelleteuses et des derniers camions-bennes venus déverser leurs lots de
déjections et d'immondices. Quelque 200 fourmis humaines courbent encore
l'échine pour trier
les déchets, parfois à mains nues. Les catadores, comme on les appelle,
hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, savent tous ici qu'ils n'en
ont plus pour longtemps.
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