La côte est-africaine, qui borde l’océan Indien, concentre environ la
moitié des actes de piraterie dans le monde. L’activité, qui concerne
entre quelques centaines et mille cinq cents Somaliens, brasse chaque
année plus d’une centaine de millions de dollars — ce qui est
considérable dans cet environnement désolé. Mais elle en régression
notable, du fait d’une riposte conjuguée des armateurs et des Etats dont
ils dépendent, d’actions militaires plus offensives, et d’un début de
mobilisation des pays riverains.
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