Premier scrutin organisé depuis vingt ans, les élections législatives du 7 novembre 2010, loin d’ouvrir un processus de démocratisation, ont plutôt visé à légitimer le contrôle du pouvoir par la junte et à redorer son image sur la scène internationale. La libération d’Aung San Suu Kyi, quelques jours après le vote, y participe et suscite en même temps l’espoir d’un possible changement.
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