Il y a environ 444 Ma, à la fin de l'Ordovicien,
la Terre affrontait à la fois une glaciation majeure, se déroulant
paradoxalement dans un contexte à pCO2 supérieure à l'actuel, une crise de la
biodiversité conduisant à l'extinction de nombreuses espèces, et un
bouleversement des cycles géochimiques. L'analyse comparée d'archives
sédimentaires au Maroc et au Québec par des équipes françaises, canadiennes
et italienne montre que cette glaciation se compose d'une récurrence de cycles
glaciaires relativement longs (probablement 1,2 million d'années) et remet en
cause les scénarios imaginés jusque-là. En effet, la phase d'extinction
initiale apparaît corrélée à la première phase de déglaciation — et non à
l'entrée en glaciation — et les principales excursions isotopiques
interviennent pendant une ultime phase de déglaciation — et non lors du maximum
glaciaire. Cette étude est parue dans Nature Communications.
Il y a environ 444 Ma, à la fin de l'Ordovicien, la Terre affrontait à la fois une glaciation majeure, se déroulant paradoxalement dans un contexte à pCO2 supérieure à l'actuel, une crise de la biodiversité conduisant à l'extinction de nombreuses espèces, et un bouleversement des cycles géochimiques. L'analyse comparée d'archives sédimentaires au Maroc et au Québec par des équipes françaises[1], canadiennes et italienne montre que cette glaciation se compose d'une récurrence de cycles glaciaires relativement longs (probablement 1,2 million d'années) et remet en cause les scénarios imaginés jusque-là. En effet, la phase d'extinction initiale apparaît corrélée à la première phase de déglaciation — et non à l'entrée en glaciation — et les principales excursions isotopiques interviennent pendant une ultime phase de déglaciation — et non lors du maximum glaciaire. Cette étude est parue dans Nature Communications.
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/4201-ordovicien-glaciations
Il y a environ 444 Ma, à la fin de l'Ordovicien, la Terre affrontait à la fois une glaciation majeure, se déroulant paradoxalement dans un contexte à pCO2 supérieure à l'actuel, une crise de la biodiversité conduisant à l'extinction de nombreuses espèces, et un bouleversement des cycles géochimiques. L'analyse comparée d'archives sédimentaires au Maroc et au Québec par des équipes françaises[1], canadiennes et italienne montre que cette glaciation se compose d'une récurrence de cycles glaciaires relativement longs (probablement 1,2 million d'années) et remet en cause les scénarios imaginés jusque-là. En effet, la phase d'extinction initiale apparaît corrélée à la première phase de déglaciation — et non à l'entrée en glaciation — et les principales excursions isotopiques interviennent pendant une ultime phase de déglaciation — et non lors du maximum glaciaire. Cette étude est parue dans Nature Communications.
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/4201-ordovicien-glaciations
y a environ 444 Ma, à la fin de l'Ordovicien, la Terre affrontait à la fois une glaciation majeure, se déroulant paradoxalement dans un contexte à pCO2 supérieure à l'actuel, une crise de la biodiversité conduisant à l'extinction de nombreuses espèces, et un bouleversement des cycles géochimiques. L'analyse comparée d'archives sédimentaires au Maroc et au Québec par des équipes françaises[1], canadiennes et italienne montre que cette glaciation se compose d'une récurrence de cycles glaciaires relativement longs (probablement 1,2 million d'années) et remet en cause les scénarios imaginés jusque-là. En effet, la phase d'extinction initiale apparaît corrélée à la première phase de déglaciation — et non à l'entrée en glaciation — et les principales excursions isotopiques interviennent pendant une ultime phase de déglaciation — et non lors du maximum glaciaire. Cette étude est parue dans Nature Communications.
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/4201-ordovicien-glaciations
Il y a environ 444 Ma, à la fin de l'Ordovicien, la Terre affrontait à la fois une glaciation majeure, se déroulant paradoxalement dans un contexte à pCO2 supérieure à l'actuel, une crise de la biodiversité conduisant à l'extinction de nombreuses espèces, et un bouleversement des cycles géochimiques. L'analyse comparée d'archives sédimentaires au Maroc et au Québec par des équipes françaises[1], canadiennes et italienne montre que cette glaciation se compose d'une récurrence de cycles glaciaires relativement longs (probablement 1,2 million d'années) et remet en cause les scénarios imaginés jusque-là. En effet, la phase d'extinction initiale apparaît corrélée à la première phase de déglaciation — et non à l'entrée en glaciation — et les principales excursions isotopiques interviennent pendant une ultime phase de déglaciation — et non lors du maximum glaciaire. Cette étude est parue dans Nature Communications.
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/4201-ordovicien-glaciations